Capote à ouverture intérieure extérieure, antivol bloque-volant, remontage de la capote, pose d'un poste radio, casquette de phare, insonorisation, manette de chauffage, volant, compteur faussé, bouton tableau de bord, maintien de fenêtre, pose des garnitures, habillage de l'habitacle...
En fin de restauration il me reste à trouver où tailler l’habillage en feutrine. Sur les sites des vendeurs on trouve du tout prêt, cher, et de qualité semble-t-il médiocre.
Ayant conservé les modèles à changer, j’ai trouvé une superbe feutrine épaisse de 4mm gris anthracite, 4,60 m ( suffisamment pour tout faire) pour 69€ livraison comprise chez Butinette.
Reste quand même à acheter la colle Néoprène ( en bombe pour éviter les taches de transparence).)
J’ai lu que les fils de clignotants sont apparents d’origine et non pas sous la feutrine.
Quand ce sera fini je posterai des photos.
Boujou tt le monde, je confirme que les fils du cligno étaient apparents sur la deuch de mon père de 1965 puisque je me rappelle voir la lumière du cabochon à la jointure avec la feutrine. Sur celle qui lui avait précédé, je comptais même les "pulsations" de la lampe par cette petite imperfection de raccordement entre la feutrine et la tôle. De mémoire, elles étaient au nombre de treize quand on armait le clignoteur à friction à fond. A confirmer.
Souvenirs, souvenirs
bon à rien mais moyen en tout
le talent c'est oser, ça, c'est de monsieur Brel
louislarénov a écrit : ↑18 déc. 2023, 12:49
Boujou tt le monde, je confirme que les fils du cligno étaient apparents sur la deuch de mon père de 1965 puisque je me rappelle voir la lumière du cabochon à la jointure avec la feutrine. Sur celle qui lui avait précédé, je comptais même les "pulsations" de la lampe par cette petite imperfection de raccordement entre la feutrine et la tôle. De mémoire, elles étaient au nombre de treize quand on armait le clignoteur à friction à fond. A confirmer.
Souvenirs, souvenirs
Demain, dès l’aube, à l’heure où blanchit la campagne, je partirai vois-tu, j’irais dans mon garage, j’ôterai la bâche de ma deuch, je tournerai le clignotant, sans rien voir au dehors, sans entendre aucun bruit, je compterai les yeux rivés sur les pulsations, je ne puis demeurer dans le doute plus longtemps.