Nouveau deuchiste
Posté : 04 juil. 2019, 23:54
Bonjour à tous ! Il est temps pour moi de franchir le pas...
Francilien depuis ma naissance il y a 29 ans (aujourd'hui dans le Val-de-Marne), la 2CV m'a tapé dans l'oeil il y a presque autant d'années.
L'apparition d'Internet a constitué une formidable occasion d'accumuler des informations sans déranger personne, une aubaine pour le grand timide que je suis... :P C'est donc assez facilement que je suis tombé sur ce forum, dont la somme des connaissances détenue par ses membres est impressionnante.
Au fil du temps, posséder une 2CV est devenu, non pas une obsession permanente, mais une sorte d'ambition "rampante", qui me trottait dans la tête et qui se réveillait à intervalle régulier. Et ces derniers mois, ça n'allait pas en s'arrangeant, si je puis le dire ainsi. :oops:
Et un beau jour de printemps 2019 je tombe sur une annonce. Il s'agissait d'une des dernières 2CV6 Spécial E, de fin 1983, et donc une des dernières deuches disposant de l'embrayage centrifuge. En lisant revues et autres magazines relatant l’histoire de la 2CV, j’avais trouvé cette technologie assez géniale pour son époque. Et ce en dépit de ses inconvénients bien connus, je ne suis pas "centrifugo-béat" (ouch
) !
Elle était localisée à 30 km au sud de Bordeaux, avec moi vivant en région parisienne, et personne dans le coin à qui j’aurais pu oser demander de l’essayer. Et après plusieurs coups de fil (et beaucoup de photos) avec le propriétaire, je descendais la voir. Avec le recul, c’était à la limite du stupide, pour une voiture que je n’étais même pas sûr d’acheter.
Etait-elle parfaite ? Non, mille fois non. Une jauge à essence fantaisiste, un « poc » sur l’avant-gauche, ou encore un petit trou sur la capote («ça goutte un peu en cas de forte pluie », dixit le propriétaire)... Toujours est-il qu’un essai (à Bordeaux et autour) et un mois plus tard, je redescendais la chercher définitivement !
Et puisque j’avais décidément envie de me compliquer la vie (ou plutôt parce que j’avais mal évalué l’effort nécessaire), je suis remonté sur Paris avec. En s’arrêtant à mi-chemin pour la nuit, quand même. Et bien… RAS, enfin presque. Le lendemain, après avoir tenu un bon 100 km/h tout du long, nous arrivions à bon port. Je crois même que j’étais plus fatigué qu’elle…
Donc pourquoi « presque » ? Parce que j’ai constaté, en allant la voir le lendemain, qu’elle laissait filer un peu d’huile sur le sol, principalement au niveau du joint de vidange…
(je ne m’étendrai pas davantage ici sur le souci, si je comprends bien je reprendrai le sujet dans la partie du forum concerné).
Malgré tout, je suis bien conscient de n’être qu’au début d’une aventure. C’est ce qui m’a fait avancer tout au long de cette démarche, j’espère que ce voyage ne prendra pas fin trop vite !
Pour finir je ne voudrais pas déroger aux règles, et conclure sans poster une photo de la belle, prise le jour de l’achat sur la route de Paris :

Merci à vous, je sais que je suis « tout petit » en termes de connaissances par rapport à la moyenne de ce forum, mais j’espère que je pourrai quand même apporter quelque chose, c’est le minimum.
@+
Francilien depuis ma naissance il y a 29 ans (aujourd'hui dans le Val-de-Marne), la 2CV m'a tapé dans l'oeil il y a presque autant d'années.
L'apparition d'Internet a constitué une formidable occasion d'accumuler des informations sans déranger personne, une aubaine pour le grand timide que je suis... :P C'est donc assez facilement que je suis tombé sur ce forum, dont la somme des connaissances détenue par ses membres est impressionnante.
Au fil du temps, posséder une 2CV est devenu, non pas une obsession permanente, mais une sorte d'ambition "rampante", qui me trottait dans la tête et qui se réveillait à intervalle régulier. Et ces derniers mois, ça n'allait pas en s'arrangeant, si je puis le dire ainsi. :oops:
Et un beau jour de printemps 2019 je tombe sur une annonce. Il s'agissait d'une des dernières 2CV6 Spécial E, de fin 1983, et donc une des dernières deuches disposant de l'embrayage centrifuge. En lisant revues et autres magazines relatant l’histoire de la 2CV, j’avais trouvé cette technologie assez géniale pour son époque. Et ce en dépit de ses inconvénients bien connus, je ne suis pas "centrifugo-béat" (ouch
Elle était localisée à 30 km au sud de Bordeaux, avec moi vivant en région parisienne, et personne dans le coin à qui j’aurais pu oser demander de l’essayer. Et après plusieurs coups de fil (et beaucoup de photos) avec le propriétaire, je descendais la voir. Avec le recul, c’était à la limite du stupide, pour une voiture que je n’étais même pas sûr d’acheter.
Etait-elle parfaite ? Non, mille fois non. Une jauge à essence fantaisiste, un « poc » sur l’avant-gauche, ou encore un petit trou sur la capote («ça goutte un peu en cas de forte pluie », dixit le propriétaire)... Toujours est-il qu’un essai (à Bordeaux et autour) et un mois plus tard, je redescendais la chercher définitivement !
Et puisque j’avais décidément envie de me compliquer la vie (ou plutôt parce que j’avais mal évalué l’effort nécessaire), je suis remonté sur Paris avec. En s’arrêtant à mi-chemin pour la nuit, quand même. Et bien… RAS, enfin presque. Le lendemain, après avoir tenu un bon 100 km/h tout du long, nous arrivions à bon port. Je crois même que j’étais plus fatigué qu’elle…
Donc pourquoi « presque » ? Parce que j’ai constaté, en allant la voir le lendemain, qu’elle laissait filer un peu d’huile sur le sol, principalement au niveau du joint de vidange…
Malgré tout, je suis bien conscient de n’être qu’au début d’une aventure. C’est ce qui m’a fait avancer tout au long de cette démarche, j’espère que ce voyage ne prendra pas fin trop vite !
Pour finir je ne voudrais pas déroger aux règles, et conclure sans poster une photo de la belle, prise le jour de l’achat sur la route de Paris :

Merci à vous, je sais que je suis « tout petit » en termes de connaissances par rapport à la moyenne de ce forum, mais j’espère que je pourrai quand même apporter quelque chose, c’est le minimum.
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