Expédition polaire vers Francorchamps
Posté : 19 mars 2009, 07:50
:D
Bonjours à toutes et à tous,
On dit que souvent, on rit après des mésaventures que l'on a vécues. Et bien, c'est vrai.
Il y a 2 ans, nous décidons, Véronique (ma chère et tendre) et moi de passer un week-end sur le circuit sans doute le plus aimé au monde, pour les 24 heures de la 2 CV (pardon, 24 h et 24 minutes !), car il y a deux ans, cela à bien failli clapoter définitivement.
Nous voila parti de Frameries pour rallier Francorchamps lorsque nous arrivons en bas de la grosse montée pour atteindre la baraque fraiture lorsque tout à coup, il commence à neiger.
A cette époque, j'étais encore bien loin de connaître l'utilité du joint de capote (j'en ignorais d'ailleurs son existence) et voila qu'il commence à pleuvoir dans ma deuche. La tempête de neige se levant de plus belle, dans l'ascension de la côte, et dans le noir le plus complet, je n'y voyais plus rien et j'avais l'impression que ma Deuche s'était transformée en un vélo moteur suite à la neige qui s'engouffrait sous la capote et qui se jetait sur mon visage, malgré ma cagoule/casquette de montagnard et mes gants.
Véronique, qui me suivait avec notre Renault Scénic avec qui je communiquai par walkie-talkie n'en menait pas large non plus, car elle à horreur de conduire sur la neige et voila que nous avions l'impression de nous retrouver dans un raid en Laponie.
A un moment, ne voyant plus rien, je demandais de passer devant, espérant profiter de la masse du Scenic pour faire un peu barrage, mais que neni :!:
La neige s'accumulant commençait à fondre et il pleuvait littéralement dans la Deuche. Il en venait de partout et je voyais l'eau commencer à s'accumuler sur le tableau de bord, sur les tapis en caoutchouc.
Mon épouse, en avant et dans le noir le plus complet, dans sa première expédition "polaire" à la recherche de la Pitchounette, hôtel que nous avions choisi à Sart-lez-Spa nous restait perdue des hommes.
Bien entendu, nous sommes arrivés entier et moi bien mouillé en haut de cette côte et avons enfin, après plus d'une heure trouvé notre hôtel, dans lequel nous sommes rentrés bien humide et enrichi d'une aventure que nous ne sommes pas prêt d'oublier.
Nous en rions bien maintenant, mais sur le moment, nous n'en menions pas large !
Voilà , j'espère que cette aventure vous fera rire autant que nous aujourd'hui.
A bientôt
:lol: :shock:
Bonjours à toutes et à tous,
On dit que souvent, on rit après des mésaventures que l'on a vécues. Et bien, c'est vrai.
Il y a 2 ans, nous décidons, Véronique (ma chère et tendre) et moi de passer un week-end sur le circuit sans doute le plus aimé au monde, pour les 24 heures de la 2 CV (pardon, 24 h et 24 minutes !), car il y a deux ans, cela à bien failli clapoter définitivement.
Nous voila parti de Frameries pour rallier Francorchamps lorsque nous arrivons en bas de la grosse montée pour atteindre la baraque fraiture lorsque tout à coup, il commence à neiger.
A cette époque, j'étais encore bien loin de connaître l'utilité du joint de capote (j'en ignorais d'ailleurs son existence) et voila qu'il commence à pleuvoir dans ma deuche. La tempête de neige se levant de plus belle, dans l'ascension de la côte, et dans le noir le plus complet, je n'y voyais plus rien et j'avais l'impression que ma Deuche s'était transformée en un vélo moteur suite à la neige qui s'engouffrait sous la capote et qui se jetait sur mon visage, malgré ma cagoule/casquette de montagnard et mes gants.
Véronique, qui me suivait avec notre Renault Scénic avec qui je communiquai par walkie-talkie n'en menait pas large non plus, car elle à horreur de conduire sur la neige et voila que nous avions l'impression de nous retrouver dans un raid en Laponie.
A un moment, ne voyant plus rien, je demandais de passer devant, espérant profiter de la masse du Scenic pour faire un peu barrage, mais que neni :!:
La neige s'accumulant commençait à fondre et il pleuvait littéralement dans la Deuche. Il en venait de partout et je voyais l'eau commencer à s'accumuler sur le tableau de bord, sur les tapis en caoutchouc.
Mon épouse, en avant et dans le noir le plus complet, dans sa première expédition "polaire" à la recherche de la Pitchounette, hôtel que nous avions choisi à Sart-lez-Spa nous restait perdue des hommes.
Bien entendu, nous sommes arrivés entier et moi bien mouillé en haut de cette côte et avons enfin, après plus d'une heure trouvé notre hôtel, dans lequel nous sommes rentrés bien humide et enrichi d'une aventure que nous ne sommes pas prêt d'oublier.
Nous en rions bien maintenant, mais sur le moment, nous n'en menions pas large !
Voilà , j'espère que cette aventure vous fera rire autant que nous aujourd'hui.
A bientôt
:lol: :shock:
J'en ai placé un ce jour, ça va tout seul ! :roll: